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Читаем сказку "Пещера маленького замка"

Полностью читайте по ссылке: https://www.litres.ru/book/svetlana-vladimirovn/la-houle-du-chatelet-contes-de-terre-et-de-mer-kniga-72107839/ Texte et devoirs
1. Faites entrer les mots exigés par le sens dans des phrases.
A . Il y avait une fois (un laboureur/une labeur) qui s'appelait Marc Bourdais.
B. Selon l'usage de son pays, il avait (le nom/le surnom) et on l'appelait dans son village le bonhomme Maraud.
C. Le domestique touchait (les cheveux/les chevaux).
D. Le son de trompe semblait (prévenir/venir) de dessous terre.
E. Puis il s'est remis à la besogne, et son maître et lui-même (ont continué/ ont terminé) à charruer leur sillon commencé.
2. Apprenez par cœur.
Se mettre à : se mettre à la besogne - приниматься за дело, se mettre à manger - начать есть; continuer à/de : continuer à labourer la terre, mais continuer le sillon commencé - продолжать возделывать землю, но продолжить начатую борозду; commencer à/de, commencer par : commencer à boire, commencer par boire - н

Полностью читайте по ссылке: https://www.litres.ru/book/svetlana-vladimirovn/la-houle-du-chatelet-contes-de-terre-et-de-mer-kniga-72107839/

Couverture
Couverture

Texte et devoirs
1. Faites entrer les mots exigés par le sens dans des phrases.
A . Il y avait une fois (un laboureur/une labeur) qui s'appelait Marc Bourdais.
B. Selon l'usage de son pays, il avait (le nom/le surnom) et on l'appelait dans son village le bonhomme Maraud.
C. Le domestique touchait (les cheveux/les chevaux).
D. Le son de trompe semblait (prévenir/venir) de dessous terre.
E. Puis il s'est remis à la besogne, et son maître et lui-même (ont continué/ ont terminé) à charruer leur sillon commencé.
2. Apprenez par cœur.
Se mettre à : se mettre à la besogne - приниматься за дело, se mettre à manger - начать есть; continuer à/de : continuer à labourer la terre, mais continuer le sillon commencé - продолжать возделывать землю, но продолжить начатую борозду; commencer à/de, commencer par : commencer à boire, commencer par boire - начать пить, начать с питья.
3. Lisez.
Il y avait une fois à Saint-Cast un laboureur qui s’appelait Marc Bourdais ; mais, suivant l’usage du pays, il avait une signorie, et on le nommait communément le bonhomme Maraud. Un jour qu’il était à charruer auprès de la pointe du Châtelet, il entendit corner, et le son de la trompe semblait venir de dessous terre.
Il dit à son domestique qui touchait les chevaux :
— Entends-tu, gars ?
— Oui, répondit-il, c’est le corne des fées.
— Crie-leur de nous apporter une gâche de pain.

Le domestique s’arrêta, et cria de toute sa force, mais bien gentiment :
— Apportez-nous, s’il vous plaît, une gâche.
Puis il se remit à la besogne, et son maître et lui continuèrent leur sillon commencé ; quand ils l’eurent achevé, ils trouvèrent au bout un beau pain enveloppé dans une serviette bien blanche :
— En mangerons-je, de la gâche aux fées ? demanda le bonhomme Maraud.
— Oui, répondit le domestique, elle est trop belle pour ne pas lui faire honneur en la goûtant.
— Commence par l’entamer, toi, dit Maraud ; je ne veux pas en manger le premier.
Ils coupèrent chacun une tranche dans le pain des fées qui était tout beurré, et bon comme un gâteau ; ils le trouvèrent à leur goût, puis ils eurent soif, et crièrent :
— Apportez-nous maintenant à boire, s’il vous plaît.
Aussitôt voilà un pot de cidre et un verre qui se présentent devant eux :
— Ma foi, dit le bonhomme, nous avons goûté à la gâche, et elle était bien bonne ; m’est avis que le cidre ne nous fera point de mal.

Ils remplirent le verre ; le cidre était clair et de belle couleur, et ils déclarèrent tous les deux que jamais ils n’en avaient bu d’aussi agréable.
Quand ils revinrent le soir chez eux, ils racontèrent à leurs voisins qu’ils avaient mangé du pain apporté par les fées et qu’ils avaient bu de leur cidre ; mais beaucoup hochaient la tête en les entendant et leur disaient :
— Vous allez en mourir, mes pauvres gens.
Ils ne furent pourtant point malades, et, quelques jours après, ils retournèrent labourer auprès de la pointe du Châtelet. Comme ils y arrivaient, ils sentirent l’odeur de galettes de blé noir toutes chaudes.

— Ah ! dit le bonhomme Maraud ; les fées sont aujourd’hui à faire de la galette ; si tu leur en demandais un peu ?
— Ma foi, répondit le domestique, priez-les de vous en donner, j’ai peur de les ennuyer.
Le bonhomme, qui était un vieux farceur, se mit à crier :
— Apporte-moi de la galette ; et il m’en faut de la meilleure !
Quand ils furent rendus au bout du sillon qu’ils traçaient, ils trouvèrent deux galettes de belle apparence.
— Nous allons les manger, dit le bonhomme, elles ont une mine qui fait plaisir à voir.
Mais, quand ils les coupèrent, ils s’aperçurent qu’elles étaient remplies de poils, que les fées y avaient mis parce que Maraud ne leur avait pas parlé poliment :
— Vieille sorcière, s’écria le bonhomme ; si tu te moques de moi, j’en ai autant à ton service ; viens prendre ta galette et la remporte.
Ils commencèrent un autre sillon, et, quand il fut achevé, les galettes remplies de poils avaient disparu.
4. Traduisez.
A. Они начали новую борозду.
B. Пахарь принялся за еду (есть).
C. Начнём с пирожных.
D. Продолжим рассказ (рассказывать).
5. Répondez aux questions.
A. Quel est le vrai nom du bonhomme Maraud ?
B. Avec qui travaille-t-il dans son champ ?
C. Où se trouvent ses terres ?
D. Qu'est-ce que les laboureurs ont entendu quand ils charruaient un sillon ?
E. Qui leur a donné du pain ?
F. Qu'est-ce qu'ils ont raconté à leurs voisins ?
G. Quelle était leur réaction ?
H. Qu'est-ce qui s'est passé le lendemain ?
I. Pourquoi la galette était-elle remplie de poils ?
J. Qu'est-ce qui s'est passé quand ils avaient fini le second sillon ?
Corrigé
1. Faites entrer les mots exigés par le sens dans des phrases.
A . Il y avait une fois un laboureur qui s'appelait Marc Bourdais. - Жил как-то пахарь и звали его Марк Бурде.
B. Selon l'usage de son pays, il avait le surnom et on l'appelait dans son village le bonhomme Maraud. - Следуя нравам этих мест, имелось у него прозвище и все звали его в деревне папаша Маро.
C. Le domestique touchait les chevaux. - Слуга погонял лошадей.
D. Le son de trompe semblait venir de dessous terre. - Звук трубы, казалось, шёл из-под земли.
E. Puis il s'est remis à la besogne, et son maître et lui-même ont continué à charruer leur sillon commencé. - Потом он снова принялся за дело и хозяин его, и он сам продолжили вспахивать начатую борозду.
4. Traduisez.
A. Они начали новую борозду. - Ils ont commencé un nouveau sillon.
B. Пахарь принялся за еду (есть). - Le labourer s'est mis à manger.
C. Начнём с пирожных. - Commençons par des gâteaux.
D. Продолжим рассказ (рассказывать). - Continuons à raconter.
Traduction
Жил некогда в Сэн-Каст один пахарь, звали его Марк Бурде; однако, по обычиям здешних мест, было у него прозвище и все называли его папаша Маро. Однажды, когда он возделывал земли вблизи одного маленького замка, он услышал, как трубят в рог, и звуки трубы шли откуда-то из-под земли. Он сказал своему слуге, погонявшему лошадей:
- Слышишь, пацан?
- Да, - отвечал тот, - это рожок фей.
- Крикни им, пусть принесут ломоть хлеба.
Слуга остановился и крикнул изо всех сил, только вежливо:
- Принесите нам, пожалуйста, ломоть хлеба.
Потом он снова занялся делом и, со своим хозяином, они продолжили начатую борозду. Когда они закончили, они нашли в конце борозды аппетитный хлеб, завёрнутый в очень белую салфетку.
- Что не поесть ли мне, да и тебе тоже, хлеба от фей?
- Да, - ответил слуга, - он слишком аппетитно выглядит, чтобы не оказать ему чести и не отведать его.
- Кусай ты, - сказал Маро, - я не хочу есть его первым.
Они отрезали каждый по ломтику хлеба фей и, оказалось, что в нём много масла, и что он вкусный, как пирожное. Хлеб пришёлся им по вкусу, но они захотели пить и закричали:
- Принесите нам теперь, пожалуйста, пить.
Тут же перед ними возникли горшочек сидра и стакан.
- Чёрт побери, - сказал папаша Маро, - мы поели хлеба и он был неплох, моё мнение - сидр нам не навредит.
Они наполнили стакан. Сидр оказался светлым, красивого цвета и они оба объявили, что никогда ещё не пили такого приятного на вкус.
Когда вечером работники вернулись домой, они рассказали соседям, что ели хлеб, который принесли им феи, и пили их сидр. Однако многие качали головой, слушая их, и говорили им:
- Вы скоро умрёте, несчастные наши.
Впрочем, были они вполне здоровы и, несколько дней спустя, вернулись возделывать землю вблизи макушки небольшого замка. Когда они пришли, они почувствовали запах горячих лепёшек из чёрной пшеничной муки.
- А! - сказал папаша Маро, - феи сегодня заняты выпечкой лепёшек. Не попросишь ли ты у них немного.
- Ну, - отвечал слуга, - просите их сами. Я боюсь надоедать им.
Папаша был тем ещё остряком. Он закричал:
- Неси мне лепёшку. Мне нужна лучшая.
Когда они добрались до конца своей борозды, то нашли две лепёшки, красивые на вид.
- Сейчас их съедим, - объявил Маро, - уж больно с виду они хороши.
Однако когда они их разрезали, то обнаружили внутри волосы, которые феи положили в лепёшки, поскольку Маро говорил с ними невежливо.
- Вот старая ведьма, - закричал мужичок, - если ты вздумала посмеяться надо мной, я к твои услугам. Приходи, бери свою лепёшку и уноси с собой.
Они начали новую борозду, а когда закончили, лепёшки с волосами исчезли.