Н. Н. ГОНЧАРОВОЙ 9 сентября 1830 г. Из Болдина в Москву Ma bien chère, ma bien aimable Наталья Николаевна — je suis à vos genoux pour vous remercier et vous demander pardon de l’inquiétude que je vous ai causée. Votre lettre est charmante et m’a tout à fait rassuré. Mon séjour ici peut se prolonger par une circonstance tout à fait imprévue: je croyais que la terre que m’a donnée mon père était un bien à part, mais elle se trouve faire partie d’un village de 500 paysans, et il faudra procéder au partage. Je tâcherai d’arranger tout cela le plus vite possible. Je crains encore plus les quarantaines qu’on commence à établir ici. Nous avons dans nos environs la choléra morbus (une très jolie personne). Et elle pourra m’arrêter une vingtaine de jours de plus. Que de raisons pour me dépêcher! Mes respectueux hommages à Наталья Ивановна, je lui baise les mains bien humblement et bien tendrement. Je vais écrire à l’instant à Афанасий Николаевич. Celui-ci, avec votre permission, est bien impati