Partie 1
Chaleureuse soirée d'été. Le soleil, penché à contrecœur vers l'ouest, dore la surface miroir du réservoir avec ses rayons. Une douce brise rafraîchit agréablement la peau. La chaleur s'est dissipée, mais il fait encore très chaud. Dans les bois côtiers, les oiseaux agités gazouillent. Parfois, les moustiques s'envolent pour la chasse précoce.
Nous sommes assis sur la rive du réservoir d'Istrinsky près des maisons d'été louées pour le week-end. C'est agréable de gagner après une semaine de travail à la base locale ! Du côté de la plage, nous entendons les voix qui résonnent du bain, les rires des enfants, le cri des mouettes, parfois l'air est annoncé par un grondement perçant, en passant devant les moteurs.
- Qui nage avec moi ?
- En sortant de la chaise longue, elle demande à la compagnie de Serezha.
- Allez, Sasha et moi allons laver les voitures pendant que nous partons," dit Lyuskin Vitya.
- Je suis avec toi, dit Yul'yen'ka en courant vers Sasha.
- Comme toujours, "nous n'étions plus que trois", - rit Serezka, nous aidant, Lyuska et moi, à nous lever.
- Tu ne veux pas te changer ? Tu veux bien aller en pyjama ?
- un ami rit, montrant du doigt les Seryozhinas, portant par-dessus les maillots de bain, culotte rayée.
- C'est lui, Lyuska, pour ne pas aveugler les filles du coin avec sa beauté !
- Sasha fait du gogoling, en suivant Vitya jusqu'aux voitures garées à proximité.
- ...Trois, ordonne Serezhka, et nous sautons dans l'eau en même temps. Après avoir fait un clin d'œil à Lyuska, nous nous jetons sur son mari, essayant de le "noyer", mais, serrés par de fortes mains masculines, nous nous retrouvons sous l'eau. Après avoir creusé, nous nous sommes dépêchés de naviguer sur le côté, mais Serezha saisit immédiatement nos jambes, alertant bruyamment le voisinage de son désir de nager, s'accrochant à la queue de la sirène.
On rit pour sortir. Le mari nage vers l'avant et, donnant des coups de pied dans l'eau moussante de ses pieds, nous arrose impitoyablement avec des fontaines d'éclaboussures dispersées. Plonger. Jouant le rôle d'une torpille, il nous pousse un à un hors de l'eau. Se réjouissant enfantinement de ses inventions sans fin et de sa "laideur", il bouillonne autour de nous avec un cycle joyeux. Lassés du rire, nous demandons miséricorde et nous nous tournons vers le rivage.
Le mari est le premier à sauter hors de l'eau et à se précipiter vers les maisons. Quand nous partons, il nous attend déjà avec des serviettes éponge.
- Oh, et grâce à Tanya, j'ai eu le plaisir ! Le mien ne se soucie que de son fer à repasser !
- Lyuska rit.
- Mais les autres filles ne sont pas regardées ! - remarque que Yul'yanka est venu avec les gars. - Alors je vais tuer sur-le-champ !
- Lyuska rit.
- Vous êtes au courant ?
- Vitya sourit, dit Vitya.
- Et ma Tanya n'est pas jalouse - mon mari m'embrasse, - ne m'aime probablement pas ! - Je te fais confiance !
- Je m'explique de façon édifiante en me faisant des câlins avec lui.
- Quelqu'un dîne avec nous ce soir ?
- Vitya demande, Serge, peut-être que toi et Tanyukha courez après le lait pendant que nous nageons ?
- Facile ! J'espère que ma voiture a été lavée ?
- Tout d'abord ! Même Yulka a aidé !
- Sasha sourit.
- Qu'il en soit ainsi, je vais polir les pommes de terre pour l'instant, - promet Lyuska. Notre "Opel" brille par sa pureté primordiale. Je conduis.
- Qu'est-ce que tu regardes ? Il n'y avait rien à boire !
- J'explique à mon mari mon comportement.
- Comme vous voudrez, ma reine, dit Serezha en s'affaissant sur le siège passager.
- La voiture a été lavée, et la vitre de la cabine n'a pas été essuyée ", grommelle-je, " Sergei, donne-moi un chiffon, s'il te plaît ! Mon mari, sans regarder, le sort de la boîte à gants.... le soutien-gorge rouge feu des femmes. Je ne peux m'empêcher de remarquer :
- C'est nouveau ! - Et ce n'est qu'ensuite que je commence à réaliser l'importance de cet objet dans la boîte à gants. Je regarde Serezha.
- Qu'est-ce que c'est que ça ?
- Après avoir regardé par les yeux, il est terrifié. - Je crois que c'est un soutien-gorge de femme ! - Ironise-le.
- Comment est-ce possible ? - Mon mari est perplexe.
- C'est ce que vous me demandez ?
- Ne t'avise pas de me parler comme ça ! Je n'ai rien à voir avec ça !
- Soupirs Sergei.
- Bien sûr que c'est la voiture d'un étranger, et tu n'es pas une tapette !
- Je perds enfin patience, j'aboie.
- Ne fais pas le singe ! - criant de mari.
- Je devrais peut-être m'excuser pour le fait qu'il était là ?
- Je crie, je saute de la voiture.
- Tanya, attends ! - Il me crie à la trace de Sergei, mais je vais me précipiter vers les maisons. Ignorant l'étonnement de Lyuskino, prenant mon sac à main et repoussant Serezhka, qui essaie de me retenir, je cours à l'arrêt de bus.