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QUESTIONS RELATIVES AUX CHEVAUX. Partie 2.

https://skitterphoto.com/photos/6435/man-on-horse-back-jumping-in-show
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Peu importe l'usure des os et des tendons de tomber encore et encore après le saut sur les mains fragiles du cheval, peu importe leur douleur ou à quel moment ils commencent à dépendre des anti-inflammatoires et dans le meilleur des cas des chirothérapeutes, le cheval devrait être utilisé pour le sport du saut, et quand il est complètement cassé et inutile, ils vont s'en débarrasser correctement.

  1. D'autres "sports" lui sont tout aussi néfastes, le polo, avec la combinaison de la vitesse de pointe, des coups à la bouche, des coups à la queue ou même à la bocha (balle), des péchais (poussées forcées d'un cheval à l'autre), leur crée tellement de stress qu'il n'est pas rare pour eux de mourir de crise cardiaque pendant le jeu même si chaque cheval joue seulement un quart d'heure et si chacun a besoin de quatre chevaux. Les vérins qui sont attachés en attendant leur tour peuvent être vus tremblant de peur et d'anxiété.
  2. En dressage et au lycée, ils tentent de reproduire des mouvements que le cheval pouvait exécuter sporadiquement dans la nature dans des moments de grande excitation, mais pour cela il est soumis à une impulsion constante en avant, à travers l'éperon et le fouet, tandis que la paroi féroce de douleur de la bouche dirige ce mouvement vers le haut.
  3. La recherche de la beauté, d'un cou élégamment arqué et de ces mouvements qui semblent irréels, ont un prix très élevé pour le cheval, qui n'est jamais pris en compte.
  4. Les courses au trot sont un autre exemple de la façon dont on tient peu compte de son bien-être, le cheval est forcé de courir fou, poursuivi par un "prédateur" qui ne peut se débarrasser (la charrue) qui le frappe avec ses griffes (le fouet) mais à la hauteur du raffinement, nous forçons le cheval au moyen de filets d'élévation (qui sont des morsures jointes à des rênes qui maintiennent la tête du cheval anormalement élevée) à ne courir qu'au trot, c'est-à-dire à un pas que dans la nature ils utilisent rarement, c'est-à-dire l'intermédiaire entre le pas et le galop. Dans cette position, il ne voit pas ce qu'il a devant lui et on lui met des œillères pour qu'il ne voie pas les chevaux qu'il a à côté de lui et qu'en fuyant terrifié au point de lui faire redoubler ses tentatives de galop.

Il y a beaucoup d'autres cas de mauvais traitements aberrants, de compétitions de tir, aux USA les courses de Tennessee Walking, où le nerf de la queue est amputé et où les lourdes chaussures de fer sont mises bien pires qu'un fer à cheval normal, afin d'obtenir des pas étranges totalement contre nature et ainsi dans toutes les activités où un homme et un cheval interviennent.... l'un gagne et l'autre perd... et toujours les mêmes.

Et dans tous ces cas, le prix de sa vie d'esclave est généralement, comme je l'ai dit, une promenade vers l'abattoir.

D'autres, qui pour des raisons de maladie ou de vieillesse ne seraient peut-être pas admis dans un abattoir, se voient refuser le droit à une mort plus ou moins rapide, et sont abandonnés... dans des écuries équestres, confinés dans leur box, simplement en ne payant pas... dans des clôtures à la campagne, où ils mourront de faim ou dépendront d'un voisin pitoyable qui leur jette quelques morceaux de pain tous les jours... sur les routes, où ils peuvent causer un accident ou tomber d'une falaise... attaché à un arbre au milieu de nulle part, où ils sont ramenés et laissés et vous trouvez leur corps attaché à la bride qui était leur corde......

Tous ces cas sont réels, nous les vivons depuis des années, même souvent dans de luxueux centres équestres qui enferment à l'arrière leurs chevaux de classe et les laissent mourir loin des yeux de tous....

Quand vous sauvez ces chevaux, quand vous arrivez à temps pour leur sauver la vie, leur âme est souvent morte. Leur regard vide et opaque nous dit que leur âme a abandonné ce corps pauvre, gaspillé et sec. Ces chevaux, comme de vrais automates, montent dans le camion, descendent, nous suivent, ne résistent pas, mais ne nous regardent pas, ne nous voient pas, indifférents aux mots de confort, aux caresses... ils passent quelques jours, quelques mois... et un jour, pendant que vous leur donnez à manger, avec des vitamines, avec des carottes... un jour ils vous regardent... et dans ce regard il y a lumière, la vie et ça vaut tout.

Certains d'entre eux, sont partis avant de pouvoir les ramener, j'écris ceci à la mémoire de Libéré par exemple, un GER de 25 ans environ qui a été abandonné attaché à une clôture... Libéré avait subi de telles tortures et humiliations... on ne pouvait le garder en vie que trois mois, mais on ne pouvait le faire croire à nouveau en l'humanité.

Sa queue avait été amputée vivante, son anus avait été coupé, je suppose qu'on avait essayé d'enlever des mélanomes et qu'on avait même fait une sorte de vagin artificiel...... On ne savait pas à quoi ça servait.

En termes de pourcentage, très peu de chevaux sont retirés par leurs propriétaires compatissants et peuvent jouir d'une vieillesse digne.

Pour cette raison, je supplie d'ici tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, défendent les animaux, n'oubliez pas le cheval, ne vous laissez pas éblouir par la splendeur du sport, ne vous laissez pas berner par les films où les chevaux libres acceptent volontiers d'être esclaves des courses, comme si le rêve de chaque cheval était de courir sur un circuit, sur une piste ou un court. Regardez ses yeux, regardez ces grimaces de douleur chaque fois que le cow-boy dans le film le fait tourner comme une toupie, regardez ses bouches et ces cris silencieux......

Rendons au cheval sa dignité. S'il doit continuer à travailler pour l'homme, du moins que l'on sache de son état, qu'on lui accorde quelques droits minimaux, bien qu'ils soient très peu nombreux par rapport à tout ce que nous lui devons.

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