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Concept, structure et types d'interactions interpersonnelles

https://pixabay.com/ru/photos/%D0%BB%D1%8E%D0%B4%D0%B8-%D0%B6%D0%B5%D0%BD%D1%89%D0%B8%D0%BD%D1%8B-%D1%80%D0%B0%D0%B7%D0%B3%D0%BE%D0%B2%D0%BE%D1%80-%D1%81%D0%BC%D0%B5%D1%8F%D1%82%D1%8C%D1%81%D1%8F-2567915/
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La recherche sur le problème des interactions interpersonnelles a une longue tradition en Psychologie. Le concept de "coopération" est révélé par le côté de la communication, qui enregistre non seulement l'échange d'informations, mais aussi l'organisation d'actions communes permettant aux partenaires de réaliser certaines activités communes pour eux.

Dans l'histoire de la Psychologie, il y avait plusieurs tentatives pour donner une telle Description. Ainsi, par exemple, la théorie dite de l'action, ou théorie de l'action sociale, a été largement répandue, dans laquelle diverses variantes ont proposé une Description de l'acte individuel de l'action. Cette idée a été abordée par des sociologues et des psychologues sociaux. Tout le monde a fixé certaines composantes de l'interaction: les gens, leur connexion, l'impact les uns sur les autres et, par conséquent, leurs changements. La tâche a toujours été formulée comme la recherche des facteurs dominants pour motiver les actions dans l'interaction.

Un exemple de la façon dont cette idée a été mise en œuvre pourrait être la théorie dans laquelle une tentative a été faite pour tracer un appareil catégorique commun pour décrire la structure de l'action sociale. Au cœur de l'activité sociale se trouvent les interactions interpersonnelles, composées d'actions uniques. Une action unitaire est un acte élémentaire; parmi ceux-ci, les systèmes d'action s'additionnent plus tard.

Chaque acte est pris seul, isolément, du point de vue d'un schéma abstrait, dont les éléments sont:

a) une personne;

B) un «autre» (l'objet auquel l'action est dirigée);

C) les normes (selon lesquelles l'interaction est organisée);

d) les valeurs (que chaque participant accepte);

e) la situation (dans laquelle l'action est effectuée).

Le personnage est motivé par le fait que son action vise à réaliser ses installations (besoins). En ce qui concerne «l'autre», la personnalité développe un système d'orientation et d'attentes, qui sont déterminées à la fois par le désir d'atteindre l'objectif et par la prise en compte des réactions probables de «l'autre». Cinq paires de ces orientations peuvent être distinguées, ce qui donne une classification des types d'interactions possibles. On suppose qu'avec l'aide de ces cinq paires, toutes sortes d'activités humaines peuvent être décrites.

Cette tentative a échoué: le schéma d'action révélant son "anatomie" était si abstrait qu'il n'y avait aucune signification pour l'analyse empirique des différents types d'actions. Elle s'est avérée inefficace pour la pratique expérimentale: sur la base de ce schéma théorique, une seule étude a été réalisée par le créateur du concept lui-même. Méthodologiquement incorrect ici était le principe même-la mise en évidence de certains éléments abstraits de la structure de l'action individuelle. Avec cette approche, il est généralement impossible de saisir le côté significatif de l'action, car il est donné par l'activité sociale dans son ensemble. Par conséquent, il est plus logique de commencer par la caractéristique de l'activité sociale, et d'aller à la structure des actions individuelles individuelles, c'est-à-dire dans la direction opposée. La direction proposée par Parsons conduit inévitablement à la perte du contexte social, car toute la richesse de l'activité sociale (en d'autres termes, l'ensemble des relations sociales) est déduite de la Psychologie de l'individu.

Une autre tentative de construire une structure d'interaction consiste à décrire les étapes de son développement. Dans le même temps, l'interaction n'est pas décomposée en actes élémentaires, mais au stade où elle se déroule.

Du point de vue de l'analyse transactionnelle, chaque participant à l'interaction peut en principe occuper l'une des trois positions, qui peuvent être désignées conditionnellement comme Parent, Adulte, Enfant. Ces positions ne sont en aucun cas nécessairement liées au rôle social approprié: ce n'est qu'une Description purement psychologique d'une stratégie particulière dans l'interaction (la position de l'Enfant peut être définie comme une position «je Veux!", position du Parent comme " il Faut!", position de l'Adulte-Association " je Veux!"et" il faut!»). L'interaction interpersonnelle est efficace lorsque les transactions sont de nature «complémentaire», c'est-à-dire que les transactions sont de nature "complémentaire". coïncident: si un partenaire s'adresse à un autre en tant qu'Adulte à un Adulte, alors il répond de la même position. Si l'un des participants à l'interaction s'adresse à l'autre en tant qu'Adulte, et qu'il lui répond de la position du Parent, l'interaction est perturbée et peut généralement cesser. Dans ce cas, les transactions sont «intersectées».

La femme s'adresse à son mari avec des informations « " J'ai coupé le doigt "(appel à Un adulte de la position d'un adulte). S'il répond « "maintenant, nous nous ligotons", alors c'est aussi la réponse de la position de l'Adulte (I). S'il suit la Maxime: "tu as Toujours quelque chose qui arrive», alors c'est la réponse de la position du Parent (II), et dans le cas:" que dois-je faire maintenant?", démontre la position de l'Enfant (III). Dans les deux derniers cas, l'efficacité de l'interaction est faible.

Chaque situation dicte son propre style de comportement et d'action: dans chacun d'eux, une personne se «nourrit» différemment, et si cette auto-alimentation n'est pas adéquate, l'interaction interpersonnelle est difficile. Si le style est formé sur la base d'actions dans une situation particulière, puis mécaniquement transféré à une autre, alors naturellement, le succès ne peut pas être garanti.