Première période de franc-maçonnerie en vigueur 1717-1783
En 1717, 4 loggias londoniennes se sont réunies pour former la plus grande loggia de Londres. En 1720, la grande loggia de Londres célébra pour la première fois son jour de fondation, et en 1723 Anderson publia son Livre de la Constitution de la Grande Loge anglaise après que George I l'eut pleinement reconnu. Ce livre de la Constitution d'Anderson s'applique à la base du mur de maçonnerie. En 1731, la Grande Loge d'Irlande a été établie à Dublin sur la base du Livre Constitutionnel d'Anderson, qui a servi de base au deuxième Livre Constitutionnel irlandais publié en 1751. De même, en 1736, la Grande Loge d'Ecosse a été créé à Edimbourg, qui a convenu avec la London Lodge sur les questions maçonniques. D'autre part, des divergences sont également apparues en Angleterre, car tous les maçons vivant à Londres et dans les environs ne s'étaient pas sanctifiés dans la Grande Loge construite en 1717 et avaient par la suite des loggias indépendantes et avaient fait des aveux. Si on se soumet aussi en général à la grande loggia, ainsi, cependant, la photo encore secrète a eu lieu. L'insatisfaction fut causée par l'introduction de différentes couleurs sur les vêtements du maçon en 1731 et l'établissement de la maison du gardien en 1735, ainsi que par les mêmes privilèges. Après une paix temporaire, l'insatisfaction reprend à partir de 1755, se qualifiant d'anciens maçons anglais par opposition aux nouveaux maçons anglais, et par le fait qu'ils ne sont plus les mêmes : il fait référence à la plus ancienne loggia du pays, York, qui continue à travailler occasionnellement, mais reste en contact fraternel avec Londres jusqu'en 1784, où elle devient inactive et expire. En 1764, la séparation a été complétée par l'hostilité, en 1772, l'Irlande et l'Écosse ont reconnu l'ancienne Grande Loge anglaise. La scission se poursuivit jusqu'en 1813, lorsque les frères séparés se rassemblèrent[683] dans la Grande Loge Unie nouvellement formée des anciens francs-maçons anglais. Le nouveau livre de la Constitution a été publié en 1815, la deuxième édition en 1827 et la troisième et dernière en 1841. En Ecosse, si souvent mentionnée dans l'histoire mythique et mystique de l'homme, il existait depuis l'Antiquité une association de bâtisseurs similaire à celle des Anglais. Ci-dessous se trouvaient les cartouches, dont le bureau a été pendant de nombreuses années héréditaire dans la famille des comtes St. Clair, M. von Roslin. Le lieu de rencontre était le village de Kilwinning, d'autres comtés se sont réunis à Aberdeen. Au XVIIe siècle, le F. tomba en ruine, jusqu'à ce qu'il renaisse en 1723, à tel point qu'en 1736 déjà 32 loges d'Edimbourg élurent le Grand Maître, le 30 novembre, jour de l'anniversaire de saint André, saint patron de l'Ecosse. La Grande Loge d'Ecosse n'a toujours reconnu que les 3 degrés d'origine et s'est déclarée contre toutes sortes de degrés élevés et les a gardés en sécurité.
Pas l'Ecosse, mais la France est la source des bonnes notes. En 1725, la première loggia de Paris fut fondée par les Anglais ; en 1742, il y avait 22 loggias à Paris. En 1743, le premier livre de droit général pour l'utilisation des loggias a été publié en France, dont le vingtième article était contre les grades élevés. En 1740, Michael Andr. Ramsay (s.d.) donna une conférence à Paris, dans laquelle il dériva F. des croisades et l'associa à l'Ordre de Saint-Jean, l'Ordre de Malte. En 1747, l'abbé Larndan publie un texte hostile : Franc-Maçon écrasé, qui raconte pour la première fois l'histoire des invasions de la maçonnerie en politique au temps de Cromwell pour ramener les Stuart sur le trône d'Angleterre. Déjà en 1742, sur la base de la leçon donnée par Ramsay, trois nouveaux diplômes écossais ont été formés. En 1743, un 7ème degré fut inventé à Lyon, représentant la revanche des Templiers. En 1745, le prince Karl Eduard Stuart s'installe en Grande-Bretagne pour prendre le trône d'Angleterre et retourne en France après la bataille de Culloden en 1746. La Fable des Hautes Grades l'élève au rang de Grand Maître de la Franc-maçonnerie, ou d'un Grand Maître inconnu des Templiers et donateur du diplôme Rosecroix. Tous ces grades de l'Ordre ne se désagrègent en rien, comme le prince le déclara officiellement en 1780 sa méconnaissance des mystères des maçons. En 1754, le chevalier de Bonneville fonda un chapitre de haut grade, appelé chapitre de Clermont, qui fut transplanté en Allemagne par des officiers français pendant la guerre de Sept Ans et par Sam. Rose a été répandue. Ce chapitre a été suivi en 1756 par celui du Chevalier de l'Est, en 1758 par celui de l'Empereur de l'Est et de l'Ouest à 25 degrés, et en 1704 Tschudy introduit le degré de Saint André d'Ecosse. Pour associer l'être chevaleresque, et surtout l'Ordre des Templiers, à la maçonnerie, il a été dit qu'après que Jakob Molay, le Grand Maître des Templiers, eut été brûlé à Paris en 1314, 7 Templiers, dont Aumont, s'était réfugié sur une île écossaise, furent retrouvés un Templier, Harris, qui était déjà là.
La suite devrait être: https://zen.yandex.ru/media/id/5d92205cbc251400adb77d88/lhistoire-de-la-loge-maonnique-partie-6-5d93ccaa2f1e4400af366073