Дополнение к этой статье.
7 ноября 2023 года в Ростовской области был установлен бюст коллаборационисту-контрреволюционеру(Белогвардейцу) Врангелю Петру Николаевичу.
Во время Отечественной войны 1918-1922 года(проотив международного вторжения под видом«интервенции») он воевал на стороне английских оккупантов действуя.
Многие его ставят в пример сотрудничество как того как он прибыл в Россию на англиском судне. И основываясь на этом примере,что якобы английский агент. Все кто говорит об этом либо не правы либо не знают истиной картины.
Когда Совесткая власть(возглавляемая большевиками) нанесла серьезное поражения( заставив правитедлсьтва западных стран при помощи политически активных градан) отказать от «интервенци»/оккупации и собиралась уходить.Коллобарционисты-контрреволюционеры(«Белогвардейцы») оказались неспособны противостоять «раз на раз» Красной армии.
Ладно не будем вспоминать,что большевики ещё с 1918-1919 отработали перевод экономики на военный режим. К тому же при помощи академии «Выстрел» (эту академию создавали для подготовки комодирского сотава который будет боротся с «интервентами»(оккупантами) почему то закрыли в 2011 году?).
Положение «Белых в крыму ухудшилось когда «интервенты»(большая часть) покинули Курым и окрестности Черного моря. в этой ситуации Мужик в форрррммммее Деникн утратил своё влияние а следовательно и значение и был лишен звания командовать армией Юга и вместо него было сформировано правительства нового человека Пётр Николаевич Врангель .
M. MILLERAND, MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES,
À M. PAUL CAMBON, AMBASSADEUR DE FRANCE À LONDRES.
T. n° 3676 (2). Paris, 8 avril 1920, 21 h. 20.
L’amiral de Bon me télégraphie ( 3) que l’amiral de Robeck a pour instructions de fournir au général Wrangel tout le concours possible pour défendre la Crimée contre l’Armée rouge (4).
D’autre part le commandant des forces navales anglaises aurait donné ordre d’empêcher l’armée des Soviets d’attaquer la Crimée par mer même en traversant le détroit de Kertch.
Je vous prie de demander au gouvernement britannique si ces renseignements sont exacts, s’ils sont bien conformes à la politique qu’il entend suivre en Crimée et à son interprétation de la décision du Conseil Suprême du 25 février 1920.
(1> Dans une lettre adressée à Millerand le 12 mai 1920, François-Marsal, ministre des Finances, devait transmettre son accord « sur l’intérêt que présenteraient, au point de vue financier, une réunion des Alliés et une entente préalable entre la Belgique, F Angleterre, l’Italie et nous, avant la conférence de Spa ». En précisant : « Le cabinet de Rome insiste sur la connexité qui existe entre les dettes de guerre des Alliés et la dette de réparation des pays vaincus. Il y a là une vue juste sur laquelle (...) nous devons nous rencontrer. Mais d’autre part, la note que vous m’avez transmise propose de fonder la répartition de l’indemnité non seulement sur les dommages soufferts mais aussi sur l’effort économique et financier supporté par chaque pays, en rapport à sa puissance économique et financière. Nous ne saurions admettre cette proposition » (document non retenu).
( 2) Communiqué à Rome et Washington.
( 3) Télégramme n" 3696, du 7 avril, non retenu, auquel Millerand répond, le 9 avril, à 8 h. 39, qu’il se concerte avec Londres. Il avait pourtant, le 4 avril (T. n° 835, non retenu), répondu à la Marine : « J’approuve les instructions données par l’amiral de Bon à l’amiral Lejay, en conformité des instructions données à l’amiral anglais, d’interdire jusqu’à nouvel ordre l’usage de la mer Noire aux rouges ».
( 4) Le 4 avril, l’amiral de Bon avait envoyé à Paris le télégramme suivant (n° 2269, non retenu) : « Général Wrangel a été nommé successeur de Denikine ». Sans autres précisions sur la nature de ses fonctions.
Каждый раз когда кто нибудь будет утверждать, что Врангель находится под англичанаим тыкните этой телеграммой. Он истинный булко-хруст- в жопе.
Многие утверждают, что большевики когда добивали Врангеля были не готовы сохранить людям жизни,но Врангель отказался. Это было по собственной волей,это правда частично ....
NOTE DU SERVICE DES AFFAIRES RUSSES SUR LA CRIMÉE
Paris, 15 avril 1920.
1. Situation militaire.
Les restes de l’armée Denikine actuellement rassemblés en Crimée sont placés sous les ordres du général Wrangel. L’effectif total est évalué à 52.000 hommes par l’état-major russe; mais la moitié sans armes ni équipements et avec quelques centaines de chevaux seulement.
Ces troupes doivent être organisées en trois corps d’armée :
Le corps de Crimée défend le front des isthmes; son moral est passable.
Le corps du Don est à Eupatoria; sur 15.000 hommes 2.000 seulement sont armés. Son moral est détestable.
Le corps des Volontaires a trois divisions et une brigade de cavalerie sans chevaux. Il a perdu ses bagages et son artillerie. Son moral est médiocre.
La région fortifiée de Kertch et la place de Sébastopol sont occupées chacune par une division.
A l’arrière, pour lutter contre les bandes des Verts qui tiennent les régions montagneuses et boisées du littoral méridional, tous les officiers disponibles formeront des détachements de sécurité.
Le nombre total des combattants est évalué à 14.500.
2. Possibilité de résistance.
Dans ces conditions une résistance prolongée contre les forces bolcheviques n’est pas possible. Néanmoins le général Wrangel, comptant sur les avantages que la configuration de la péninsule offre à la défensive, se croit
( 1) Paléologue répondit à Paul Gambon par télégramme (T.24.R.X.) le 16 avril 1920 à 23 h. 10 : « Veuillez demander au gouvernement britannique le nom et la date d’arrivée à Paris du délégué qu’il compte envoyer au comité technique dont la création a été décidée par le Conseil des Ambassadeurs le 9 de ce mois. La présence de ce délégué est indispensable pour que le gouvernement britannique puisse se rendre compte si le régime commercial allemand est ou non compatible avec le Traité de Paix et comporte, dans l’application des restrictions, des discriminations entre un pays allié et un autre. Le fait seul que les gouvernements belge et français ont reçu par centaines des réclamations de leurs ressortissants et que le gouvernement anglais n’en a pas reçu une seule est preuve suffisante, semble-t-il, des discriminations voulues par le gouvernement allemand ».en mesure de tenir à condition que les Alliés le ravitaillent en armes, munitions et vivres.
Il s’appuierait sur tous les éléments anti-bolcheviques que le général Denikine a négligés, c’est-à-dire qu’il suivrait une politique démocratique et favorable aux revendications des peuples allogènes. MM. Tchaikovski et Savinkov (socialistes-révolutionnaires modérés), avec lesquels il semble être d’accord, ont élaboré un plan comportant une action concertée avec les paysans ukrainiens révoltés contre les bolcheviks et une entente avec le général Pilsudski. Celui-ci serait décidé à ne point faire la paix avec Moscou et se serait montré disposé à donner à la Russie des garanties pour l’avenir, à réduire à des limites raisonnables les ambitions territoriales de la Pologne, c’est-à-dire renoncer à la Russie blanche. De cette façon on espère tenir assez longtemps en échec le gouvernement des Soviets et provoquer plus rapidement sa chute Ce plan aurait l’inconvénient grave de favoriser outre mesure les desseins d’expansion des Polonais dans la modération desquels on ne saurait avoir confiance.
3. Politique anglaise.
Le gouvernement britannique a déclaré par la bouche de M. Lloyd George qu’il ne donnerait plus aucune aide militaire aux troupes russes qui combattent les Soviets. Il a donné instructions à sa flotte de la mer Noire de « n’entreprendre aucune opération offensive contre le gouvernement des Soviets à l’exclusion de celles qui seraient nécessaires pour assurer la sécurité de la mission britannique ou l’évacuation des réfugiés ».
La mission britannique en Crimée est très importante. Elle compte 150 à 200 officiers et 500 soldats. Les officiers sont répartis dans les états-majors depuis les plus élevés jusqu’à ceux de divisions. La mission a ainsi une influence prédominante dans le commandement de l’armée russe, et la tâche de la protéger équivaut à celle de protéger l’armée entière. Aussi la flotte a-t-elle bombardé les troupes bolcheviques qui tentaient de franchir l’isthme de Pérékop. Depuis le général Wrangel a reçu une note du gouvernement britannique l’invitant à cesser la lutte avec les Soviets, sinon tout appui matériel lui serait refusé à l’avenir.
Le général Wrangel a répondu que cette décision entraînerait l’impossibilité de continuer la lutte, qu’il s’en remettait à la mission britannique du soin de traiter l’armistice et qu’il estimait que deux mois étaient nécessaires pour liquider la situation.
4. Propositions du général Mangin.
Le général Mangin, chef de la mission militaire française, qui ne comprend qu’un très petit nombre d’officiers, propose :
1° que l’armistice soit imposé aux deux parties au nom de l’Entente et non par la seule initiative de l’Angleterre.
( 1) Une note, rédigée le 11 avril par Grenard, destinée à Paléologue, conclut à la difficulté qu’il y avait à
MÉMORANDUM REMIS PAR M. MAKLAKOV, AMBASSADEUR DE RUSSIE
30 avril 1920.
1. Si les hostilités entre les troupes bolcheviques et l’Armée des Volontaires doivent prendre fin grâce à l’intervention médiatrice des Alliés, il est désirable :
a. Que la médiation se fasse avec la participation de tous les Alliés, le règlement de la crise russe étant d’un intérêt général;
b. Que lors des négociations qui pourront s’engager, les intérêts de l’Armée des Volontaires soient dûment représentés;
c. Que l’Armée des Volontaires ne soit pas l’objet de décisions unilatérales qui lui seraient imposées.
2. Si un concours à l’effet de permettre au général Wrangel de continuer des opérations actives contre les bolcheviks devait lui être refusé, ne serait-il pas, du moins, possible de soustraire à la domination des bolcheviks les territoires sur lesquels s’exerce actuellement en fait le pouvoir du général Wrangel, c’est-à-dire le territoire de la Crimée, ainsi que celui de la partie adjacente du gouvernement de Tauride nécessaire à son approvisionnement ? Ceci permettrait la création d’un organisme politique indépendant où les nombreux réfugiés russes qui bientôt deviendront une charge pour l’Europe pourraient trouver un asile. Le maintien sur le territoire russe d’une organisation politique nationale, établie sur la base des principes communs aux Etats européens, est encore plus essentiel au point de vue du développement ultérieur des événements en Russie. Selon des indices certains le régime bolchevique est destiné à disparaître dans un délai plus ou moins bref. Il est à redouter qu’une période d’anarchie plus complète encore lui succède temporairement. Cette période d’anarchie sera d’autant moins longue, et la reconstitution de la Russie d’autant plus rapide, qu’un centre autour duquel pourront se grouper tous les éléments nationaux existera au moment de la chute définitive du bolchevisme.
Une fois la nécessité d’un tel organisme reconnue, il serait nécessaire que les Alliés obtinssent de la part des bolcheviks l’engagement de respecter son indépendance et, autant que possible, fournissent au général Wran-gel les moyens de l’organiser et de le défendre, le cas échéant, contre toute velléité de conquête.
Il est à souhaiter que les Alliés usent de leur influence auprès du gouvernement polonais afin de seconder la conclusion d’une entente entre celui-ci et le général Wrangel. L’accord entre les Polonais et Petlioura ne serait pas un obstacle à une pareille entente, à deux conditions suivantes, indispensables au point de vue du sentiment national russe :
a. Que les Alliés laissent entendre au gouvernement polonais qu’ils ne sauraient donner leur assentiment à cet accord s’il consacrait une annexion plus ou moins déguisée de territoires situés à l’ouest du Dniepr;
b. Que cet accord n’entrave pas la reconstitution de l’unité russe, but auquel les patriotes russes sont attachés avant tout, ne fût-elle réalisée que sur des bases fédératives. A ce point de vue il est important que les différentes formations politiques constituées sur le territoire de la Russie, tout en étant traitées comme indépendantes en fait, n’obtiennent pas une reconnaissance formelle de leur indépendance (l>.
( 1) Notes marginales manuscrites de Berthelot qui avait reçu Maklakov : « pour Laroche ». « M’en parler ». « Les Anglais nous ont-ils parlé d’une médiation entre les Bolcheviks et Wrangel ? Les Bolcheviks auraient-ils renoncé à conquérir la Crimée et à anéantir les restes de l’armée Denikine que commande Wrangel ? La Pologne, qui est d’accord avec Petlioura, veut-elle entrer en relations avec Wrangel ? » ajoutant « M. B. a simplement écouté Maklakov, en indiquant l’impossibilité de faire quelque démarche que ce soit auprès des Soviets ». Laroche avait invité Grenard à répondre aux questions ainsi posées, ce qui fut fait le 5 mai :
« 1° Les Anglais ne nous ont pas parlé d’une méditation exercée entre les Bolcheviks et Wrangel; il ont agi sans nous avertir.
2° Rien ne nous permet de croire que les Bolcheviks ont renoncé à conquérir la Crimée.
3° Aucun indice d’un accord entre la Pologne et Wrangel. D’après ce que M. Patek a dit à Monsieur Laroche, les Polonais ont gardé un très mauvais souvenir de Denikine, et il semble peu probable qu’ils cherchent à s’entendre avec son successeur. Ils reprochent à Denikine d’avoir fait une politique réactionnaire qui lui a aliéné les Russes. Ils prétendent, au contraire, qu’ils se présentent comme les protecteurs des paysans détenteurs des terres et que pour cette raison, ils sont accueillis en libérateurs. »
En marge Laroche nota : « transmettre à Varsovie, Berlin, Londres, Rome, Bucarest et Constantinople la note de Maklakov en indiquant l’attitude du président du Conseil et en faisant bruit des remarques ci-dessus ». Documents non retenus.
Le 1er mai, Maklakov résuma la conversation dans un aide-mémoire intitulé « note pour M. Berthelot » (non retenu). « Le gouvernement français est contre un accord avec les bolcheviks. Il ne fera aucune pression pour la reddition de la Crimée. Il ne prendra part à aucune médiation, même si les autres s’en chargeaient. Il sympathise avec l’idée de conserver la Crimée et le gouvernement de la Tauride. Considérant le bolchevisme comme le plus dangereux des ennemis de la Russie, le gouvernement français sympathise avec l’avance des Polonais. Il ne leur permettra pas d’annexer les régions du Dniepr. Si un gouvernement ukrainien se constitue, il le reconnaîtra peut-être, mais seulement de facto ».
Каждый раз когда ктони будь будет утверждать, что Пелсуцкий агент Антанты( что то типа этого:...и Белоруссии еще одного ставленника Антанты - Пилсудского и, таким образом, отбивают...[ 144 ] ) подойдите и скажите. О ужас!!!ТЫ прав!!(Tchaikovski et Savinkov (socialistes-révolutionnaires modérés), avec lesquels il semble être d’accord, ont élaboré un plan comportant une action concertée avec les paysans ukrainiens révoltés contre les bolcheviks et une entente avec le général Pilsudski.)
Задача этого правителсьвта(призананого Францие) солстояла в том, что бы....
M. LEYGUES, PRÉSIDENT DU CONSEIL, MINISTRE DES AFFAIRES
ÉTRANGÈRES,
ÀM. DE MARTEL, HAUT-COMMISSAIRE DE LA RÉPUBLIQUE
FRANÇAISE DANS LA RUSSIE DU SUD.
D. s.n. Paris, 29 septembre 19202
Au cours de ces derniers mois, l’attention du gouvernement de la Répu-
blique a été retenue par les succès du général Wrangel qui, après avoir
défendu la Crimée contre l’envahissement bolchevik et sauvé l’existence des forces armées dont il avait recueilli le commandement, a réussi à constituer en fait un véritable gouvernement. Fort de l’appui et de la sympathie des populations par lui libérées, legénéral Wrangel a réussi à consolider son pouvoir et à organiser les territoires réunis sous son commandement. Les lois que son gouvernement a édictées pour créer des institutions électives et assurer aux paysans le droit de propriété sur les terres qu’ils cultivent, l’engagement qu’il a pris de respecter les obligations contractées par la Russie sous les régimes antérieurs ont motivé la décision du gouvernement de la République, qui a reconnu l’existence de fait du gouvernement du général Wrangel et son autorité sur les régions que son armée occupe effectivement.Dans ces conditions, il a paru à mon Département qu’il était opportun de confier la représentation du gouvernement de la République à Sébastopol à un agent qui, par son titre de haut-commissaire et par sa valeur personnelle, aurait assez de crédit pour protéger les intérêts français etapporter au jeune gouvernement de la Russie du Sud un soutien moral utile.La fermeté et la clairvoyance, avec lesquelles vous avez rempli les dernières missions dont vous avez été chargé en Sibérie et dans le Caucase,vous désignaient particulièrement au poste auquel vous venez d’êtrenommé.Je sais que je puis compter sur l’exactitude des informations que vous me transmettrez au sujet de la situation politique du gouvernement général Wrangel, de ses rapports avec les populations, du degré deconfiance qu’il sera en mesure d’inspirer.Vous savez que ce gouvernement a été reconnu simplement en tant quegouvernement de fait et local et non pas en qualité de gouvernement russe. Cependant, les défaites graves que vient de subir le pouvoir des Soviets, le désordre profond qui a paru en résulter sur toute l’étendue du territoire de la République ne rendent pas invraisemblable une chute assez prochaine d’un régime généralement détesté. Il serait ainsi possibleque le gouvernement du général Wrangel devînt le noyau autour duquel se formera le pouvoir qui assumera la tâche de préparer la libre consultation du peuple russe, d’où sortira la restauration d’un Etat russe régulier.
Dans cette hypothèse, il convient de définir dès maintenant la politique
que le gouvernement français entend suivre à l’égard de la Russie. A
aucun moment, il n’a oublié les sacrifices consentis et les services rendus à la cause commune pendant la dernière guerre par la grande nation de l’Europe orientale. Il s’efforcera donc de maintenir et de fortifier les liens d’amitié et d’alliance dont il a éprouvé les effets bienfaisants. Vous rappellerez que, dans cet esprit, les représentants de la France, au cours des négociations pour la paix, ont pris soin de faire réserver les droits de la Russie et d’annuler les obligations que lui avait imposées le traité de Brest-Litovsk (traités de Versailles, articles 116 et 292, de Saint Germain, article 87, de Trianon, article 72, de Neuilly, article 143, de
Sèvres, articles 259 et 277). ...
Однако, это самое правителсьтво долго не продержалось.
Видея, что идеологически и политически большевики победили оккупантов«интервентов», а Белогвардейцев ещё и воленно то уних был план содания экономических проблем Совесткой России им было необходимо , чтобы люди сами пришли и попросились в....
DU GÉNÉRAL PELLÉ REMISE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE.
N. Paris, 4 décembre 1920.
Résumé des vues de MM. Masaryk et Bénès sur la politique russe.
La politique qui consiste à combattre le bolchevisme russe par intervention armée extérieure est condamnée. Celle qui visait à entourer la Russie d’une barrière de fils de fer barbelés s’est montrée également inefficace...
Un rétablissement comme celui qu’a exécuté le général Weygand risquerait de ne pas réussir une seconde fois. La méthode qu’a tenté d’appliquer M. Lloyd George — traiter avec le gouvernement bolchevique — semble jugée également. Les tentatives faites ont démontré une fois de plus qu’on ne peut avoir confiance dans la signature du gouvernement bolchevique.Toute reconnaissance de jure de ce gouvernement se heurte à des objections morales très fortes.
Y a-t-il place pour une autre politique ?
De l’avis des gouvernants tchèques, la réorganisation de la Russie, l’aboutissement de la révolution qui s’y est accomplie, ne peuvent être atteints que par une transformation intérieure du régime actuel. Comment peuton le mieux aider à cette transformation ? Tel est le problème. La solution proposée est basée sur les faits suivants, qui paraissent incontestables. La Russie est actuellement en grande partie un pays inorganique. Le gouvernement central ne gouverne et n’administre que là où sont ses armées. Le régime bolchevique a créé pour toutes les classes sociales des maux effroyables ; seule sa propagande réussit à les convaincre que ces maux sont dus au blocus. D’autre part au cours du bouleversements’est réalisée une révolution agraire, grâce à laquelle un grand nombre de paysans sont
devenus propriétaires ; ils aspirent à un régime qui consolide leur
propriété.Partant de ces faits, la méthode d’action à appliquer serait celle quiconvient aux pays neufs, à pouvoir central faible et haï ; ce serait à vraidire une méthode coloniale. Faire agir d’abord les explorateurs et les commerçants. Donc supprimer le blocus, rétablir les communicationspostales et télégraphiques, laisser les commerçants qui le voudront essayer à leurs risques et périls de rétablir les échanges et de nouer des relations avec les organisations locales. Ce qui aura divers avantages. On prouvera aux Russes de bonne foi que leurs maux viennent, non du blocus, mais du régime bolchevique ; on leur démontrera pratiquement les avantages des vieux systèmes commerciaux ; on fera pénétrer des agents de différentes
nations là où arrivent seulement aujourd’hui des Allemands, des Anglais et des Américains.Pour joindre à cette action économique une action politique, il faut
avoir une idée de principe sur la constitution future de la Russie. On peut admettre la formule d’une république fédérative russe. L’idée de fédération semble admise par tous ; l’étiquette république est actuellement indispensable. Il appartiendra aux Russes plus tard de se donner le régime intérieur qu’ils voudront. L’oeuvre de reconstitutionpolitique se ferait parla méthode de la « tache d’huile », de l’organisation de proche en proche (Gallieni, Lyautey). On organiserait d’abord les confins russes, en commençant par les petits Etats qui ont donné déjà des preuves de vitalité etde résistance au bolchevisme : Estonie, Lettonie, Lithuanie, Russie blanche, Géorgie. Puis suivraient l’Ukraine, si elle arrive à se constituer,et les autres Etats du Caucase, etc. Il ne s’agit pas d’une reconnaissance dejure qui éveillerait les susceptibilités du nationalisme russe et entraveraitla constitution de la Russie future, mais d’une reconnaissancede facto etd’une consolidation d’organismes existants, ouvrant la voie au futur régime fédératif. En faisant régner dans des territoires de plus en plus étendus l’ordre et la prospérité, on inciterait de nouvelles régions à
s’organiser et à se détacher de la Russie bolchevique. On créerait autourde celle-ci une série d’Etats tampons...
Enfin le bolchevisme, quelques sacrifices qu’il ait dû faire déjà sur ses
principes, reste encore et surtout une force de propagande, une doctrine,une religion. Il faut combattre cette organisation de propagande par sespropres moyens. Défensivement, il ne suffit pas d’entraver la propagande extérieure du bolchevisme ; il faut lui opposer une contre-propagande,instruire les masses ouvrières, développer et consolider fortement leurorganisation en partis, donner satisfaction à leurs aspirations légitimes.Offensivement, organiser en Russie une vaste propagande anti-bolchevique,qui peut s’appuyer encore sur des restes d’anciennes organisations (socialistes-révolutionnaires — mencheviks — éléments de gauche descadets). Si le bolchevisme continue la guerre au dehors, la propagandedont il s’agit trouvera dans ce fait ses plus puissants arguments.(Je rappelle que dans la conversation que j’ai eue avec lui avant de partir, le président Masaryk m’a dit : « Nous ne pouvons avoir d’autre politique en Russie que celle de la France. Que la Fra
[ 184 ]
Россиская Федерация(РФ) ...............И тут до меня, что то далетело ...
Конституция РФ
Раздел первый
Глава 1. Основы конституционного строя
Статья 1
1. Российская Федерация — Россия есть демократическое федеративное правовое государство с республиканской формой правления.
2. Наименования Российская Федерация и Россия равнозначны. [ 185 ]
И восстановить так что бы Большевизм не возродился....
M. DELAVAUD, MINISTRE DE FRANCE À STOCKHOLM,
À M. PICHON, MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES.
T. n° 1068. Paris, 12 novembre 1918, 10 h.
La situation en Russie.
Nous croyons devoir compléter les propositions du gouvernement russe,cesser les hostilités avec l’Entente, et dire ce qui suit : la politique du gouvernement bolchevique vis-à-vis des étrangers depuis un an, d’abord conciliante par suite de l’incertitude de sa position, s’est modifiée au fur et à mesure qu’il s’est senti plus fort à l’intérieur. Au cours de cette période les détenteurs du pouvoir ont prouvé par chacun de leurs actes et ont, d’ailleurs, fini par déclarer ouvertement le but qu’ils poursuivent qui est, non seulement, le remplacement, en Russie, de l’ancien état de choses, par celui qui fait actuellement ses preuves, mais encore le renversement des gouvernements de tous les autres pays sans exception, qualifiés par eux d’impérialistes et capitalistes, en vue duquel ils s’efforcent par tous les moyens dedéchaîner la révolution universelle. Pour atteindre ce but, le parti bolchevique devait tout d’abord se maintenir au pouvoir, ce à quoi il est parvenu grâce, d’une part, à la faiblesse et à l’incapacité de ses adversaires du dedans, et d’autre part aux conditions créées par la guerre aux gouvernements des puissances belligérantes vis-à-vis desquelles la tactique essentielle des dirigeants a cessé d’être un véritable jeu de bascule suivant les alternatives de succès et de revers supportées par chacun des deux camps opposés.D’autre part, et par une violente campagne de calomnies et une propagande intensive sur une vaste échelle, le parti bolchevique s’est appliqué et
s’applique plus que jamais à provoquer dans les autres pays le soulèvement des masses populaires contre les différents gouvernements. La démarche être interprétée comme un désir sincère d’entretenir désormais de bons
rapports avec les autres gouvernements ni comme une renonciation à
s’immiscer dans les affaires intérieures des autres pays ; mais seulement
comme une nouvelle manoeuvre destinée à lui permettre de gagner du
temps et de doubler sans encombre le cap difficile que représente pour lui
la période qui va suivre la conclusion de la paix générale. Il est hors de
doute en effet que les chefs du parti bolcheviquese rendent compte qu’une
fois libérés de la guerre, les gouvernements intéressés ne manqueront pas
d’intervenir sans retard et avec toute l’énergie voulue en Russie, afin d’y
rétablir un ordre nouveau incompatible avec la présence des bolcheviks au
pouvoir ; mais nécessaire pour garantir leurs nationauxcontre les procédés
de violence inqualifiables auxquels ceux-ci ont été et sont encore en butte
et pour protéger contre des mesures arbitraires sans précédent les légitimes
et importants intérêts qu’ils possèdent dans ce pays.
159
Вспоминая известный американский фильм «На следующий день» сегодня можно сказать — следующий день будет мирным. В этом дне будет меньше страха и больше надежды на счастье наших детей.
Мир может вздохнуть спокойно: коммунистический идол, который сеял повсюду на земле социальную рознь, вражду и беспримерную жестокость, который наводил страх на человеческое сообщество, рухнул. Рухнул навсегда. И я здесь для того, чтобы заверить вас: на нашей земле мы не дадим ему воскреснуть! [ 186 ]
Антиконституционное прекращение деятельности законно избранных Съезда народных депутатов и Верховного Совета было заранее согласовано Б.Н.Ельциным с Президентом Соединенных Штатов Америки Б.Клинтоном и канцлером Федеративной Республики Германии Г.Колем. Во время подготовки Указа №1400 и последующих событий руководство и некоторые сотрудники Министерства иностранных дел Российской Федерации предпринимали меры, направленные на обеспечение международной поддержки реализации упомянутого Указа.» [ 35 ] [ 36 ].
« В окружении Анатолия Борисовича в качестве советников, как выяснилось сегодня, работали кадровые сотрудники ЦРУ США. Но смешнее то, что по возвращении в США их привлекали к суду за то, что они в нарушение законов своей страны обогащались в ходе приватизации в Российской Федерации и не имели на это права как действующие офицеры разведки», – сказал Путин слова которого передает Первый канал.» [ 10 ]
««Шлейфер и Хэй всячески способствовали проведению залоговых аукционов. Эта программа в настоящее время (суд проходил в 2005 г. - Ред.) повсеместно признана чрезвычайно коррумпированной схемой, когда акции наиболее ценных российских компаний перешли в руки олигархов. Американские эксперты готовы предоставить свидетельство, что эта программа нанесла особый вред переходу России к рынку, - говорится в обвинительном заключении американского суда. - Они настояли и всячески поддержали быструю приватизацию компаний. Причем делали это при отсутствии какой-либо финансовой инфраструктуры, которая позволила бы обеспечить некоррупционное распределение ресурсов на благо населения России» [ 11
Многие скажут, что РФ это страна победивших Белогвардейцев и О УЖАС это действительно так.
Поэтому установку памятнику всяким Белогвардейцам(колобарционист-контрреволюционерам) это в полне закономерное явления.
И что теперь Ельцину памятиник ставить ААААААА!!!!!??????????
Да, плохое сравнение....
Ну если хотите постваить памятник царскому генералу который служил России то можно и вот этому...
Ну раз уж царский кровей князей и баронов то пожалуйста...
Ну раз уж ближе к Врангелю хочется,что то ближе то....
Он хотябы признал правоту Большевиков и подгатавил будующих командиров которые защищали страну во Втором этапе мировой войне. Мутный этот вот это персонаж, борьба с которым полностью ложится в парадигму Гражданской войны.